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Le bambou fixe bien plus de CO2 que les arbres et libère 30%
d’oxygène de plus, ce qui permet de lutter contre l’effet de serre.
L’étroitesse de ses feuilles facilite l’infiltration de l’eau, son système racinaire très dense, constitué de rhizomes, limite l’érosion édaphique
et restaure les sols appauvris, empêche les glissements de terrain,
le lessivage des terres arables et protègent les berges des rivières.
Il utilise jusqu’à quatre fois moins d’eau que la culture du coton.
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Sa repousse est instantanée, jusqu’à 1 mètre par jour dans certaines régions d’Asie et peut ainsi être récolté plusieurs fois par an,
jusqu'à trois à quatre fois selon les variétés, c’est une plante extrêmement résistante, dont la culture ne nécessite ni engrais, ni produit phytosanitaire.
Sa culture joue un rôle essentiel pour l’environnement, ajoutons
à cela, qu’utilisée pour le textile, sa fibre se caractérise par son plombant, un aspect doux et luisant, comme de la soie.
Surtout, elle a des vertus respirantes, antibactériennes, absorbantes, anti-UV, et elle est infroissable.
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